Soutien à la création de la nouvelle oeuvre du compositeur Tarik Benouarka, « La Légende de Néré », oratorio pour Orgue avec, en 2016, l’enregistrement à la Basilique du Sacré Coeur de Marseille et le 29 novembre 2019, la première de l’oeuvre à l’Église Saint Eustache à Paris.
La Légende de Néré: un regard entre deux Cultures: une œuvre pour Orgue, chœur et voix qui métisse les influences de l’Orient et de l’Occident en faisant se rencontrer la grande musique classique et le chant lyrique en latin et arabe.
Une œuvre, inspirée par une vision universelle de l’Homme, qui traite du thème de l’altérité. Elle est portée par les 2 personnages de Néré, le passeur et sa muse , la Dame de l’Aube. Totalement étrangers l’un à l’autre, ils se découvrent et se parlent à travers leurs chants qui résonnent en écho au delà du néant qui sépare leurs deux mondes.
« La légende de Néré est un hymne à la différence, un appel à la tolérance, aux espérances des hommes. J ai voulu cette œuvre pour l’Orgue, compagnon de tous les Orients et de tous les Occidents, témoin privilégié de tous ces changements, ces instants où se mélangent , l’Histoire, les cultures et la Musique » Tarik Benouarka
Tarik Benouarka est un compositeur et librettiste français né à Alger.
Son parcours de musicien et d’artiste est marqué par cette double culture musicale et poétique, à la fois orientale et occidentale
Multi-instrumentiste, Tarik se passionne pour toutes les formes de musique contemporaine, forgeant à travers ses expériences, son style et son vocabulaire de symphoniste avant d’aborder l’art de l’Opéra dans lequel il exprime toutes ses passions: la Musique, la Poésie et le Chant, la Dramaturgie et tous les arts de la scène. La Légende de Néré est sa troisième œuvre classique après l’opéra « El Nafas » et l’opéra ballet « Les Jours et les Nuits de l’Arbre Cœur ».
L’oeuvre d’une heure 15 réunit l’organiste Christophe Guida, le ténor Yanis Benabdallah, la soprano Dima Bawab (pour la premiere et Rasha Rizk pour l’enregistrement) et le Choeur Philharmonique International sous la direction d’Amine Kouider (pour la premiere – l’enregistrement fut réalisé par le choeur Sequentia, sous la direction de Mathieu Bonnin)